Interview G. Behra
Publié : mer. 21 mars 2018 23:35
Chers amis Maseratistes,
j'ai eu le privilège d'interviewer pour Maseratitude monsieur Georges Behra, le demi-frère (d'un même père) du grand pilote Jean Behra et de 15 ans son cadet.
Georges Behra avait 18 – 24 ans quand son célèbre frère était pilote de Formule 1 pour Maserati, pour BRM, pour Ferrari, et Jean emmenait volontiers son petit frère sur les Grands Prix, à l'usine Maserati de Modène, sur l'Autodromo di Modena quand il allait essayer un nouveau bolide …
Georges Behra a ainsi eu l'occasion de côtoyer de très grands pilotes dans les stands tels Stirling Moss ou Juan Manuel Fangio (" qui était très gentil, humble et facile d'accès").
Ci-dessous Juan Manuel Fangio, Jean Behra et Georges Behra au Grand Prix de Monaco 1955 :
Fangio abandonnera sur rupture de la distribution de sa Mercedes. Jean Behra sera classé 3ème avec Cesare Perdisa (Maserati 250 F partagée comme c'était autorisé à l'époque).
J'ai demandé à Georges si il n'avait pas eu envie de piloter, lui-aussi, mais il m'a répondu que ses deux grands frères pilotaient (Jean l'aîné mais aussi José) et que si il s'y était mis, lui-aussi, cela aurait été très dur pour ses parents, surtout après le décès de Jean (survenu sur Porsche au circuit de l'Avus à Berlin en 1959) alors que Georges avait 24 ans. Trente mois d'armée en Algérie puis un commerce familial à reprendre ont éloigné Georges des circuits, mais il a toujours aimé les voitures et garde encore un bon coup de volant aux commandes de ma 3200 GTA qu'il a trouvée " très facile et agréable, bien adaptée à la circulation moderne " :
Un Behra en Maserati, quoi de plus naturel ?
Ci-dessous Jean, avec son fameux casque à damier, sur Maserati 250 F de Formule 1 avec le mécanicien Giulio Borsari qui pousse :
j'ai eu le privilège d'interviewer pour Maseratitude monsieur Georges Behra, le demi-frère (d'un même père) du grand pilote Jean Behra et de 15 ans son cadet.
Georges Behra avait 18 – 24 ans quand son célèbre frère était pilote de Formule 1 pour Maserati, pour BRM, pour Ferrari, et Jean emmenait volontiers son petit frère sur les Grands Prix, à l'usine Maserati de Modène, sur l'Autodromo di Modena quand il allait essayer un nouveau bolide …
Georges Behra a ainsi eu l'occasion de côtoyer de très grands pilotes dans les stands tels Stirling Moss ou Juan Manuel Fangio (" qui était très gentil, humble et facile d'accès").
Ci-dessous Juan Manuel Fangio, Jean Behra et Georges Behra au Grand Prix de Monaco 1955 :
Fangio abandonnera sur rupture de la distribution de sa Mercedes. Jean Behra sera classé 3ème avec Cesare Perdisa (Maserati 250 F partagée comme c'était autorisé à l'époque).
J'ai demandé à Georges si il n'avait pas eu envie de piloter, lui-aussi, mais il m'a répondu que ses deux grands frères pilotaient (Jean l'aîné mais aussi José) et que si il s'y était mis, lui-aussi, cela aurait été très dur pour ses parents, surtout après le décès de Jean (survenu sur Porsche au circuit de l'Avus à Berlin en 1959) alors que Georges avait 24 ans. Trente mois d'armée en Algérie puis un commerce familial à reprendre ont éloigné Georges des circuits, mais il a toujours aimé les voitures et garde encore un bon coup de volant aux commandes de ma 3200 GTA qu'il a trouvée " très facile et agréable, bien adaptée à la circulation moderne " :
Un Behra en Maserati, quoi de plus naturel ?
Ci-dessous Jean, avec son fameux casque à damier, sur Maserati 250 F de Formule 1 avec le mécanicien Giulio Borsari qui pousse :